Comme beaucoup d'autres concepteurs publicitaires, je rêvais de réaliser les messages que j'écrivais. La première occasion s'est présentée en 1994, alors que je travaillais chez Publicité Martin sur le budget de la Banque de Montréal. J'avais fait le tour du Québec pour entendre les témoignages de clients de cette institution bancaire et écrire ensuite des messages imprimés et télé. Quand j'ai présenté cette campagne à mon client, Claudel Massé, j'ai proposé de réaliser les trois messages télé plutôt que de les laisser entre les mains d'un réalisateur. Il accepte.
La Fabrique d'images, maison de production, m'ont alors proposé de travailler, à cause de mon inexpérience, avec Michel Brault comme directeur photo. Il a été formidable! Ce grand réalisateur m'a conseillé, simplement, sans prétention. On a tourné trois 30 secondes.
L'année suivante, on a à nouveau réalisé deux messages pour la Société d'assurance automobile du Québec, un pour contrer la vitesse, l'autre pour le port du casque à vélo, où mon fils Julien était en vedette. Finalement, en 2000, j'ai réalisé un message de 60 secondes pour contrer la violence faite aux femmes, La violence, c'est pas toujours frappant, mais ça fait toujours mal. Un souvenir impérissable. Merci Michel de m'avoir appuyé avec tant de générosité. Merci de m'avoir enseigné à réaliser... l'élève ne dépassera jamais le maître, mais il aura beaucoup appris.
La Fabrique d'images, maison de production, m'ont alors proposé de travailler, à cause de mon inexpérience, avec Michel Brault comme directeur photo. Il a été formidable! Ce grand réalisateur m'a conseillé, simplement, sans prétention. On a tourné trois 30 secondes.
L'année suivante, on a à nouveau réalisé deux messages pour la Société d'assurance automobile du Québec, un pour contrer la vitesse, l'autre pour le port du casque à vélo, où mon fils Julien était en vedette. Finalement, en 2000, j'ai réalisé un message de 60 secondes pour contrer la violence faite aux femmes, La violence, c'est pas toujours frappant, mais ça fait toujours mal. Un souvenir impérissable. Merci Michel de m'avoir appuyé avec tant de générosité. Merci de m'avoir enseigné à réaliser... l'élève ne dépassera jamais le maître, mais il aura beaucoup appris.
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